
DOUWE MACARÉ
FAITES BOUGER LES CHOSES
Certains disent que sa planche est collée à ses pieds. D'autres apprécient simplement sa dose quotidienne de "lignes marathon". Tout le monde est enthousiasmé par les sessions de skate que Douwe Macaré, rider de l'équipe Global et Skate Pro, partage presque quotidiennement sur les médias sociaux. Fidèle à sa devise, "La constance plutôt que l'intensité", le skateur néerlandais s'entraîne tous les jours pour maintenir ses performances à un niveau constant et croissant.


LE SKATEBOARD COMME PROFESSION
Douwe a commencé à skater à l'âge de 11 ans et a remporté sa première compétition deux ans plus tard. Après quelques autres compétitions réussies à l'adolescence, il s'est rendu compte qu'il pouvait gagner de l'argent avec ce sport. De plus, ses parents, et en particulier son père, musicien, l'ont toujours encouragé à vivre une vie de créativité et de passion, alors il s'est lancé à fond.



"Choisir son chemin dans la vie exactement comme on le sent et ne pas être freiné du tout, voilà ce qu'est la liberté pour moi. Il n'y a pas de bien ou de mal.”
- Douwe Macaré
DES SPRINTS AUX MARATHONS
Après avoir décidé de devenir professionnel, Douwe a adopté une attitude plus sérieuse à l'égard des concours et ses décisions sont devenues plus calculées. Douwe promeut une manière consciente de pratiquer les sports de glisse en diffusant son amour pour le skateboard et en appréciant les liens avec les personnes qu'il rencontre sur son chemin. Comme il le dit lui-même, la vie de skateur est plus un marathon qu'un sprint, et sa carrière en est certainement un exemple impressionnant.


SI TU NE POUVAIS FAIRE QU'UNE SEULE FIGURE POUR LE RESTE DE TA VIE, LAQUELLE SERAIT-ELLE ?
Les kickflips ! Ils sont tellement polyvalents et je les fais probablement déjà tous les jours.
QUEL EST TON SPOT DE SKATE PRÉFÉRÉ ?
Sans aucun doute la Provinciehuis à Arnhem. Ils ont récemment investi dans de nombreuses améliorations pour garantir une meilleure expérience de skate. Et le Skatepark de Gand est vraiment génial.
FOTOGRAPHIE
Mathijs Tromp